Encore une information qui risque de faire plaisir à celles et ceux (dont je fais partie), qui ont l'intime conviction que le continent américain a été découvert par les Vikings bien avant Christophe Colomb.
Le CSIC, l'institut de recherches scientifiques d'Espagne a indiqué mi novembre que des analyses génétiques réalisées sur environ 80 personnes issues de quatre familles islandaises révélaient la présence d'un type d'ADN qui ne se trouve que chez les amérindiens ou les personnes nées en Asie de l'Est.
Asie de l'Est ? Si l'on voulait faire une interprétation rapide, on pourrait affirmer que l'ADN provient de familles asiatiques établies en Islande depuis peu. Mais ce serait aller trop vite.
Car les analyses des arbres généalogiques démontrent que les quatre familles islandaises descendaient d'ancêtres qui vivaient entre 1710 et 1740, dans une même région située au sud de l'île.
En outre, la lignée génétique découverte est dite "mitochondriale", ce qui signifie que le gêne a été introduit en Islande par une personne de sexe féminin.
A partir du Xème siècle, l'Islande étant relativement isolée, les scientifiques à l'origine de l'enquête considèrent que ces gênes correspondent à ceux d'une amérindienne, emmenée du continent américain en Islande vers l'an 1000.
Le rapport, établi par les scientifiques du CSIC et de l'Université d'Islande, a été publié dans une des éditions de l'American Journal of Physical Anthropology.
Source : http://news.discovery.com/archaeology/vikings-native-american-woman.html
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